Comme je vous le disais dans le précédent article, je propose à l'une d'entre vous de lui envoyer un cadeau. Je ferais un tirage au sort parmi les commentaires reçu à mon retour de vacances. Ce sera ensuite à vous de gâter quelqu'un. Pas d'obligation ; le cadeau peut être n'importe quoi, fait main ou non, il peut aller ensuite n'importe où et chez qui vous voulez, il n'y a pas de délais ni de thème. Cela peut être une surprise, ou un tirage au sort...encore une fois, aucune obligation.
Dans mon précédent article, je vous parlais aussi des cadeaux que m'avait fait Nelly, alors aujourd'hui, je vous montre ce que je lui avait concoctée :
Il s'agit de deux modèles issus du livre de Sophie Liu.
A cela, j'avais aussi ajouté des galipotes, dont voici la petite histoire :
A Ardin, un petit village, la légende raconte que les galipotes apparaissait aux promeneurs les soirs de veillées : Après avoir joué aux cartes et savouré des biscuits préparés avec amour par les grands-mères, les familles rentraient dans le froid et des adultes se déguisaient en fantômes pour surprendre les enfants. Ce sont ces fantômes qui ont donné la forme à ces biscuits.
Et pour les café, je leur ai servi un autre fleuron de pâtisserie poitevine, le tourteau fromager : Le tourteau vient du Pays mellois. Autrefois ce gâteau était préparé dans un plat en terre au fond arrondi. Cette spécialité en forme un dôme, est volontairement brûlé au dessus mais avec une pâte de cuisson blanche en dessous qui, quand on la goûte, surprend par son moelleux . « Le tourteau fromager » était aussi le nom de code utilisé sur Radio Londres pour faire passer des messages à destination de la résistance dans les Deux-Sèvres.
Et voilà, une fois n'est pas coutume, je vous ai fait un petit cours d'histoire de la pâtisserie!