Les fraises continuent de mûrir tranquillement :
Comme je le disais, j'ai dû honorer une commande de ma fille:
Ceci fut un sac à main, en simili-cui, de ma Belle-mère, avec lequel Anaïs jouait petite. Elle a voulu que je le rénove ; il y a donc eu nettoyage à grandes eaux ( et encore ce n'est pas parfait) et démontage, puis j'ai mis des pieds, changé les fermetures éclair, changé les anses et fait une doublure :
Comme je le disais, j'ai dû honorer une commande de ma fille:
Un travail de Titan, dont je suis bien contente qu'il soit fini... et Anaïs aussi!
Clauderose, si tu me lis, sache que tu ne m'ennuies pas du tout. J'aime à entendre parler ainsi une amie de ma mère, qui était modiste, de ces jolies choses d'autrefois. Tu es la bienvenue pour d'autres histoires!
Sur sa demande également je lui ai fait une pochette pour son ordi portable, mais il est raté : trop petit!
Pour finir je vous recopie ici un commentaire reçu, qui est un joli témoignage du temps passé et qui m'a touché :
En venant du sac à cadeau qui voyage, et l'organisation du SAL par Nelly, ma curiosité m'a amené jusque chez toi, et j'ai été intriguée par l'annonce d'un dictionnaire. Je suis donc tombée sur ce point, et là nostalgie! Mais je crains que à mon âge tout devienne le prétexte à rappeler des vieux souvenirs. J'espère ne pas t'importuner en t'en faisant part. C'était avant la guerre, la confection d'un manteau en lainage était une grande affaire, on faisait appel à une couturière (ce vêtement devait servir longtemps, puis passer aux frères et sœurs qui suivaient. Je vois encore mon petit frère, tout fier, il avait 3 ans Hélas il est décédé maintenant. Ce manteau était en lainage beige, un peu de velours marron au col, et surtout ma maman avait demandé que sur la martingale derrière (est ce bien le nom qui convient?) soient brodées 2 "mouches", c'est le mot dont je me souviens, qui ressemblaient étrangement au point que tu décris ici. Je les ai admirées de longues années puisque ce manteau a été utilisé aussi par mes 2 petites sœurs pendant la guerre et après, les restrictions duraient encore...
Tu vois, c'est la magie des blogs, et même si j'en ai les larmes aux yeux, c'est si bon de ramener à la surface ces vieux souvenirs, et de revivre un instant avec ceux qui manquent tant.
Merci et bisous
Clauderose
Clauderose, si tu me lis, sache que tu ne m'ennuies pas du tout. J'aime à entendre parler ainsi une amie de ma mère, qui était modiste, de ces jolies choses d'autrefois. Tu es la bienvenue pour d'autres histoires!
A bientôt